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La Jaunisse du Poisson
3 juin 2021

Les effets des vaccins

Les recherches s'intensifient sur les effets délétères des vaccins. Une nouvelle étude internationale confirme les travaux de Jean-Marc Sabatier publiés ici il y a plusieurs mois.

Dès l'apparition du Covid-19 en décembre 2019, les sociétés pharmaceutiques du monde entier ont commencé à rechercher des vaccins pour enrayer la crise sanitaire. Le premier vaccin enregistré provenait de Pfizer/BioNTech, appelé BNT162b2. Basé sur l'ARN messager, il est jusqu'à 95 % efficace pour prévenir l'infection par le SARS-CoV-2, la cause de la maladie Covid-19.
Le vaccin est basé sur un ARNm modifié par les nucléosides formulé avec des nanoparticules lipidiques qui codent pour la protéine S (spike) de la souche SARS-CoV-2 isolée au début de la pandémie à Wuhan, en Chine.

Questions sans réponse
La protéine de pointe est la principale structure moléculaire utilisée par le virus pour infecter les cellules hôtes, et son domaine de liaison au récepteur (RBD) est une cible principale des anticorps neutralisants après une infection naturelle ou une vaccination.
Alors que le vaccin BNT162b2 fournit une large gamme humorale (anticorps) et les réponses cellulaires qui protègent contre le COVID-19, de nombreuses questions demeurent, notamment l'émergence de nouvelles variantes.

 Qu'en est-il des effets à long terme ?
 Dans une étude soumise pour publication dans une revue spécialisée (pré-publiée sur le site scientifique Medrxiv), des chercheurs néerlandais et allemands expliquent que ce vaccin induit une reprogrammation complexe de la réponse immunitaire innée qui doit être prise en compte dans le développement et l'utilisation de vaccins à base d'ARNm.
 Un domaine qui reste inexploré est de savoir si le vaccin BNT162b2 a des effets à long terme sur la réponse immunitaire innée. En effet, « cela pourrait être très pertinent dans le COVID-19, où l'inflammation dérégulée joue un rôle important dans la pathogenèse et la gravité de la maladie », écrivent les chercheurs. «De nombreuses études ont montré que la réponse immunitaire innée peut être altérée/altérée après la prise de certains vaccins ou à la suite d'infections microbiennes. Ainsi, une immunité innée altérée (et la tolérance immunitaire associée) pourrait conduire à la développement de maladies auto-immunes.

 Interférence avec d'autres vaccins ?
 Les chercheurs ont montré qu'une dose du vaccin BNT162b2 induisait des taux élevés d'anticorps anti-pic et anti-pic RBD, tandis qu'une deuxième dose (trois semaines plus tard) induisait des taux d'anticorps encore plus élevés.
 Les résultats des chercheurs démontrent que BNT162b2 « induit une reprogrammation de la réponse immunitaire innée, qui doit être prise en compte. "
 Les chercheurs affirment qu'en combinaison avec une forte réponse immunitaire adaptative, la reprogrammation de la réponse innée pourrait soit contribuer à une réponse inflammatoire plus équilibrée à l'infection par le SRAS-CoV-2, soit affaiblir la réponse immunitaire innée. L'effet de la vaccination avec BNT162b2 sur la réponse immunitaire innée de l'hôte injecté pourrait également interférer avec les réponses immunitaires dans d'autres vaccinations, ajoute l'équipe.

 Vitamine D avant et après

 Selon Jean-Marc Sabatier, la protéine de pointe vaccinale peut induire en soi (seule, en l'absence de SARS-CoV-2) une sur-activation (= dysfonctionnement) du système rénine-angiotensine (RAS), comme le SARS- CoV-2. Comme le SRA contrôle l'immunité innée, son dysfonctionnement peut potentiellement conduire au développement de maladies auto-immunes. Les individus devraient donc se supplémenter en vitamine D, à la fois avant et après la vaccination contre le SRAS-CoV-2, car la vitamine D agit comme un régulateur négatif du RAS. Ainsi, la vitamine D (cholécalciférol) contrecarre la suractivation du SRA et un éventuel dérèglement de l'immunité innée induit par le vaccin. En parallèle, la supplémentation en vitamine D conduit à une vaccination efficace car elle permet un fonctionnement optimal du système immunitaire (immunité innée et adaptative).

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A propos
La Jaunisse du Poisson est cette maladie qui contamine tout ce qui vit, un peu comme l'actualités qui nous démontre que nous vivons dans un monde de plus en plus noir. Voici donc mon regard pessimiste, vue du bocal.
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